• Dans ce roman, Anne Wiazemsky revisite son passé, et notamment ses relations avec son père, de nationalité russe.

    Dans son adolescence, elle a fréquenté la propriété de son grand’père, François Mauriac, qui était déjà un monstre sacré de la littérature française.

    A la mort de sa mère, elle découvre, avec son frère, le testament de leur père, dans lequel celui-ci invitait ses proches à remettre à une dame inconnue, son ex-maîtresse, divers objets auxquels il tenait.

    La dame habitait à Genève et Anne décida de faire le voyage pour la rencontrer. La rencontre fut empreinte d’émotion, à laquelle se rattache la chanson d’Edith Piaf « l’hymne à l’amour ».

    Ce roman concentre l’attachement de l’auteur à la figure du père, qui conserva un air de mystère que seule la visite de sa fille à son ex-maîtresse permit de dévoiler.

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