• Dans ce roman, Anne Wiazemsky revisite son passé, et notamment ses relations avec son père, de nationalité russe.

    Dans son adolescence, elle a fréquenté la propriété de son grand’père, François Mauriac, qui était déjà un monstre sacré de la littérature française.

    A la mort de sa mère, elle découvre, avec son frère, le testament de leur père, dans lequel celui-ci invitait ses proches à remettre à une dame inconnue, son ex-maîtresse, divers objets auxquels il tenait.

    La dame habitait à Genève et Anne décida de faire le voyage pour la rencontrer. La rencontre fut empreinte d’émotion, à laquelle se rattache la chanson d’Edith Piaf « l’hymne à l’amour ».

    Ce roman concentre l’attachement de l’auteur à la figure du père, qui conserva un air de mystère que seule la visite de sa fille à son ex-maîtresse permit de dévoiler.

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  • En 1943, au milieu de la Seconde Guerre mondiale, un asile d’aliénés situé à Saint-Alban, en Lozère, servit de refuge à un groupe d’individus très différents. Il  y eut tout d’abord Denise Glaser, jeune résistante qui vint y chercher un lieu où elle pût se cacher. Bientôt, le poète Paul Eluard et sa compagne vinrent la rejoindre.

    Cet asile sera un lieu privilégié pour ces créateurs d’une nouvelle forme d’art, qui côtoyaient les personnes déséquilibrées, en quête de guérison.

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